c'est bien vive airbus mais en attendant vente record ou pas power 8 est toujours en marche avec ses 10 000 chomeurs

un a340-600 a foncé dans un mur anti bruit pendant que les ingénieurs faisait les derniers réglages l'avion devait partir pour la compagnie des Émirats Etihad Airways dans 8 jours il semblerait que les freins ait lachés.
pour plus d'infos:
http://www.ladepeche.fr/article/2007/11/15/268464-Toulouse-Spectaculaire-accident-d-un-A340-10-blesses-dont-3-graves.html

oué j' ai vu ;(

je sais pas si vous savez mais ce matin il y eu un probleme d'atterisage pour un a380 a toulouse.Il c'est pris un mur.

    Citation de technoman59 :

un a340-600 a foncé dans un mur anti bruit pendant que les ingénieurs faisait les derniers réglages l'avion devait partir pour la compagnie des Émirats Etihad Airways dans 8 jours il semblerait que les freins ait lachés. pour plus d'infos: http://www.ladepeche.fr/article/2007/11/15/268464-Toulouse-Spectaculaire-accident-d-un-A340-10-blesses-dont-3-graves.html

ce qui est curieux, d'après les photos des journaux et les images vues à la TV c'est que l'avant de l'avion était dirigé vers le mur anti bruit ! ! !
d'habitude des techniciens censés et responsables dirigent l'avion dans le sens de la marche c'est à dire le flux des réacteurs vers le mur ! ! !
freins serrés, avion calé et puissance moteur à 72%, le résultat était prévisible ! ! !
sur un avion comme çà, le bruit des moteurs provient de l'arrière, pas de l'avant ! ! !
d'ou le " crash test " d'hier . . .

testez prudemment

J.F

    Citation de John Fox :

Citation de technoman59 : un a340-600 a foncé dans un mur anti bruit pendant que les ingénieurs faisait les derniers réglages l'avion devait partir pour la compagnie des Émirats Etihad Airways dans 8 jours il semblerait que les freins ait lachés. pour plus d'infos: http://www.ladepeche.fr/article/2007/11/15/268464-Toulouse-Spectaculaire-accident-d-un-A340-10-blesses-dont-3-graves.html ce qui est curieux, d'après les photos des journaux et les images vues à la TV c'est que l'avant de l'avion était dirigé vers le mur anti bruit ! ! ! d'habitude des techniciens censés et responsables dirigent l'avion dans le sens de la marche c'est à dire le flux des réacteurs vers le mur ! ! ! freins serrés, avion calé et puissance moteur à 72%, le résultat était prévisible ! ! ! sur un avion comme çà, le bruit des moteurs provient de l'arrière, pas de l'avant ! ! ! d'ou le " crash test " d'hier . . . testez prudemment J.F

bai ils ont fait une grosse connerie

    Citation de technoman59 :

Citation de John Fox :     Citation de technoman59 : un a340-600 a foncé dans un mur anti bruit pendant que les ingénieurs faisait les derniers réglages l'avion devait partir pour la compagnie des Émirats Etihad Airways dans 8 jours il semblerait que les freins ait lachés. pour plus d'infos: http://www.ladepeche.fr/article/2007/11/15/268464-Toulouse-Spectaculaire-accident-d-un-A340-10-blesses-dont-3-graves.html ce qui est curieux, d'après les photos des journaux et les images vues à la TV c'est que l'avant de l'avion était dirigé vers le mur anti bruit ! ! ! d'habitude des techniciens censés et responsables dirigent l'avion dans le sens de la marche c'est à dire le flux des réacteurs vers le mur ! ! ! freins serrés, avion calé et puissance moteur à 72%, le résultat était prévisible ! ! ! sur un avion comme çà, le bruit des moteurs provient de l'arrière, pas de l'avant ! ! ! d'ou le " crash test " d'hier . . . testez prudemment J.F bai ils ont fait une grosse connerie

c'est aussi ce que je pense ! ! !

J.F

**** Message supprimé à la demande de l'auteur ****

    Citation de Fabrizioesmeo :

Sinon, pour l'A400M MSN 1, ils en sont à ce stade: http://img152.imageshack.us/img152/4719/img0449kl3.jpg C'est déjà pas mal non ? Mais faudra pas le foutre contre un mur celui-là !!!

Yeah! Le seul Airbus que je vais pouvoir trouver potable...il est à hélices

Un airbus à hélices ?Oo

Jamais vu

Mais je suis peut-être pas connu des hélices c'est pour ca!

    Citation de Michou35 :

Un airbus à hélices ?Oo Jamais vu Mais je suis peut-être pas connu des hélices c'est pour ca!

Le 400M militaire sera à hélices.

il y aura un 400M civil à réacteurs?

    Citation de lsgn :

Citation de Michou35 : Un airbus à hélices ?Oo Jamais vu Mais je suis peut-être pas connu des hélices c'est pour ca! Le 400M militaire sera à hélices.

merci

EADS peine à boucler la reprise des sites d'Airbus
[ 26/11/07 ]

Le renchérissement de l'euro va conduire EADS et Airbus à rechercher de nouvelles mesures d'économie, comme une possible délocalisation de la production vers la zone dollar, évoquée samedi par Louis Gallois, le patron d'EADS, et redoutée par les syndicats, qui craignent le transfert de certaines fabrications vers la Chine. Pour autant, le déroulement du plan Power 8 et son volet portant sur la vente de sites en France, au Royaume-Uni et en Allemagne ne sont pas pour autant remis en question. Vendredi, le quotidien allemand « Süddeutsche Zeitung » affirmait pourtant que, face à la flambée de l'euro, l'avionneur pourrait revenir sur sa décision de vendre trois de ses usines - sans préciser lesquelles - pour continuer à les gérer lui-même au sein d'une nouvelle entité. Une information aussitôt démentie par Airbus, qui affirme que « le processus suit son cours ».

Un comité d'entreprise européen d'EADS, prévu pour aujourd'hui à Munich, devrait être l'occasion de faire le point sur ce volet du plan. D'après nos informations, l'objectif serait toujours d'annoncer les noms des candidats choisis pour la dernière phase de négociations exclusives dans le courant du mois de décembre, au moins pour les sites français (Saint-Nazaire-Ville et Méaulte) et britannique (Filton). En revanche, le choix des repreneurs pour les trois principaux sites allemands de Varel, Nordenham et Augsburg pourrait prendre quelques mois encore. Mais l'intention d'EADS serait toujours d'aboutir à une annonce simultanée des cessions de sites, probablement au printemps 2008.

Les dirigeants d'EADS et d'Airbus veulent s'assurer que les repreneurs sélectionnés auront les moyens de tenir le rôle de partenaire de « rang 1 » dans le programme A350. Côté français, le groupe Latécoère, donné favori pour la reprise de Saint-Nazaire-Ville et de Méaulte, a ainsi été prié de revoir son plan de financement, en portant son projet d'augmentation de capital à 300 millions d'euros. A l'instar d'Airbus, Latécoère a en effet basé son plan d'adaptation « Objectif 2009 » sur un dollar à 1,35 euro, ce qui l'oblige lui aussi à trouver d'autres mesures pour protéger sa rentabilité.
La faiblesse du dollar

Côté allemand, la situation semble plus complexe. Après la défection de Voith, le seul candidat national susceptible de reprendre les sites locaux concernés par l'A350 est OHB Technology. Il bénéficierait du soutien financier de différentes banques allemandes (KfW, Norddeutsche Landesbank) et autres investisseurs. Mais avec un chiffre d'affaires de 152 millions d'euros pour les neuf derniers mois et une activité principalement tournée vers l'espace, il semble de taille bien modeste pour pouvoir l'emporter. Surtout comparé à son principal concurrent, l'américain Spirit, qui pèse 3,2 milliards de dollars de chiffre d'affaires. L'ancienne division de Boeing, cédée en 2005, a aussi l'avantage de continuer à fabriquer pour l'avionneur américain des éléments en composite du 787 et serait donc techniquement bien placé pour aider Airbus sur l'A350. Et la faiblesse du dollar lui donne également un plus, puisque Airbus est tenté d'acheter 70 % des éléments du futur A350 en billets verts, contre 50 % sur l'A380, par mesure d'économie.

Reste à savoir si les politiques, les syndicats et les salariés allemands d'Airbus accepteraient de voir trois des principaux sites industriels passer dans le giron d'une société américaine, qui plus est partenaire de Boeing.
BRUNO TRÉVIDIC
Source : http://www.lesechos.fr

Heureusement qu'il y a notre "cher" president pour vendre des avions au chinois

Ils parlent de plus en plus de délocaliser dans la zone dollar, je commence a me faire du soucis pour mon emploie moi !!

Airbus fait de la Chine son principal client et partenaire industriel
[ 27/11/07 ]

L'avionneur continue d'avancer ses pions sur le marché chinois avec l'annonce, hier, d'une commande géante de 160 appareils, assortie d'un nouveau partenariat industriel autour du futur A350.

Après la signature, hier à Pékin, d'un protocole d'accord pour l'achat de 160 appareils, suivie, quelques heures plus tard, d'un accord de coopération industrielle sur l'A350, la Chine apparaît plus que jamais comme le principal partenaire d'Airbus et de sa maison mère EADS. Comme en novembre 2004 lors de la visite de Jacques Chirac en Chine et en novembre 2006 lors de celle à Paris du Premier ministre, Wen Jiabao, l'avionneur européen a profité de la visite officielle de Nicolas Sakorzy pour boucler la plus grosse commande de son histoire, sinon en valeur - Emirates tient toujours la tête avec sa commande de 20 milliards de dollars du mois dernier - du moins en nombre d'appareils. Même s'il ne s'agit encore que d'un protocole d'accord, qui devra être transformé ultérieurement en commandes fermes, ce nouveau bouquet de 17,5 milliards de dollars (pour 10 A320 monocouloirs et 50 A330 long-courriers) porte à environ 550 le nombre d'appareils dans le carnet de commandes d'Airbus destinés au marché chinois. L'avionneur, qui représentait moins de 10 % de la flotte chinoise il y a dix ans, semble ainsi en bonne voie pour rattraper Boeing sur ce marché désormais considéré comme le plus important au monde.
Une nouvelle filiale commune

Mais la Chine ne sera pas seulement le premier client d'Airbus, elle sera aussi son principal partenaire industriel. Conformément à la politique de Pékin, qui lie l'accès au marché à des transferts d'activités et de technologies, chaque gros contrat s'est en effet accompagné de nouveaux engagements en la matière. La commande record n'a pas échappé à la règle. Après le centre d'ingénierie à Pékin annoncé en 2004 et l'usine d'assemblage d'A320 à Tianjin décidée fin 2005 et qui ouvrira courant 2008, Airbus a signé un nouvel accord avec les autorités du pays, confirmant l'attribution de 5 % du futur programme A350 à l'industrie aéronautique chinoise.

Concrètement, Airbus et son partenaire local, le consortium aéronautique d'Etat Avic II, vont donner naissance à une nouvelle filiale commune, sur le modèle de celle déjà mise en place pour la future chaîne d'assemblage de Tianjin. Elle donnera naissance, au premier trimestre 2009, à « un centre de fabrication commun » à Harbin, dans le nord-est de la Chine, pour produire certaines pièces en composites du futur A350. A l'instar du premier joint-venture de Tianjin, cette nouvelle société sera détenue à 51 % par Airbus, afin d'avoir un contrôle de la qualité et de la production.
Le prix à payer

Grâce à cet accord, l'industrie chinoise accédera ainsi à la technologie des composites, après avoir été le premier pays à obtenir une chaîne d'assemblage hors d'Europe. Pour Airbus, c'est le prix à payer pour obtenir le meilleur d'un marché dont les besoins en avions sont estimés à 750 appareils neufs sur les cinq prochaines années et à 2.660 d'ici à 2025. Sur ce total, Airbus espère en fournir au moins la moitié, dont une toute petite portion sera fabriquée en Chine, puisque la future usine de Tianjin ne devrait pas produire plus de 4 A320 par mois en vitesse de croisière.
B. T.
Source : http://www.lesechos.fr

La chine fournit déjà des pièces pour Airbus mais quand on les reçoits il y a de nombreux defauts.

Airbus : repreneurs connus en décembre

Aéronautique. Les noms des repreneurs des six sites d'Airbus pourraient être connus à la mi-décembre. L'avionneur européen souhaite s'en débarrasser dans le cadre de son plan d'économies Power8. Une réunion du comité d'entreprise européen d'Airbus se tiendra le 10 décembre.

Publié le 28 novembre 2007 à 09h25$
Source : http://www.ladepeche.fr/

En vol, l’Airbus A 380 n’affiche aucun retard





Plus de 25 000 passagers ont déjà volé sur l’A 380 qui est le premier avion de ligne à comporter des lits doubles.
Aucune panne majeure n’est signalée après un mois d’utilisation du très gros porteur entre Singapour et Sydney.
Zero faute. Le premier mois d’exploitation en vol régulier de l’Airbus A 380 par Singapore Airlines entre Singapour et Sydney peut être considéré comme un modèle du genre. La ponctualité atteint même 100 %, si on ne prend pas en compte les retards extérieurs causés par le contrôle aérien ou les passagers en correspondance.

Airbus, il est vrai, a déployé les grands moyens en basant une dizaine de techniciens à Singapour et en Australie qui disposent d’un important stock de pièces détachées. En particulier, le système de divertissement à bord – et son câblage, une des causes du retard de deux ans dans la fabrication du super-jumbo – n’a pas provoqué plus de problèmes que ceux observés lors de la mise en service de l’A340-500 ou du Boeing 777-300ER. L’élimination de ces bugs et les réglages dans la cabine ont toujours pu être effectués pendant l’escale sans mettre l’A 380 en retard.

Singapore Airlines avait pourtant mis la barre très haut en prévoyant seulement 1 h 40 pour le « demi-tour » à Sydney, la durée dévolue au débarquement et embarquement des passagers et du fret, nettoyage de l’avion, chargement du commissariat hôtelier, plein des réservoirs, etc. Ce temps d’escale est souvent plus proche de deux à trois heures pour un long-courrier.

90 % de taux de remplissage
Plus de 25 000 passagers ont déjà volé sur l’A 380 qui totalisait, le 22 novembre, 393 heures en 22 vols. Le taux de remplissage de l’avion, de l’ordre de 90 %, est supérieur à la moyenne de la destination. L’attrait de la nouveauté n’y est pas étranger. Entre Singapour et Sydney, un passager sur deux, en correspondance, vient d’Europe ou d’une autre ville asiatique.

Singapore Airlines doit recevoir en janvier un deuxième A 380 pour desservir cette fois Londres trois fois par semaine. Le troisième, prévu en mars, permettra à ce vol de devenir quotidien.

Les compagnies aériennes pour un Airbus A380 à 1000 sièges



Emirates et Virgin Atlantic ainsi que le loueur ILFC demandent à Airbus de se pencher sur la version allongée du superjumbo.
L’Airbus A380 est-il trop petit ? Au moins deux compagnies aériennes ont manifesté le souhait de voir apparaître une version allongée du très gros porteur européen. L’avion actuel A380-800 compte 525 sièges en version triclasse standard. En fait, Singapore Airlines qui l’exploite depuis presque un mois entre Singapour et Sydney a choisi de privilégier le grand confort en n’installant que 471 sièges. Lors d’essais d’évacuation réalisés pour la certification de l’appareil, 863 passagers avaient pris place à bord d’un appareil configuré en très haute densité comme le sont certains avions charters. Sir Richard Branson, le propriétaire de Virgin Atlantic, et Tim Clark, le PDG d’Emirates, militent pour une version de 900 à 1000 sièges. Tous deux sont déjà clients de l’A380 avec respectivement six et cinquante-deux appareils en commande.

45 avions par an en 2010
Les aménagements prévus par Emirates permettent d’installer 489 ou 517 sièges (triclasse) et 633 sièges (biclasse). Autre partisan de ce modèle allongé, Steven Udvar-Hazy, PDG d’International Lease Finance Corp. (ILFC), le plus grand loueur mondial d’avions, a récemment exprimé la même demande lors d’un congrès aéronautique à Cancun au Mexique. Il s’intéresse à un super A380 qui volerait d’ici dix à douze ans. Chez Airbus, on souligne que cette version de l’A380-900 (longueur 79,40 mètres au lieu de 73 mètres pour l’A380-800) a été proposée dès le lancement du projet. Une version cargo (en sommeil) et une quatrième option avec 525 passagers à très long rayon d’action sont également dans les cartons.

John Leahy, le directeur commercial de l’avionneur, l’a confirmé aux compagnies clientes lors du récent salon de Dubaï. Airbus planchera bien sur une version allongée d’environ 7 mètres, mais seulement lorsque la production actuelle de l’A380 aura été stabilisée. Elle doit atteindre son plein régime de 45 avions par an, à partir de 2010. Le bureau d’études qui doit aussi concevoir l’A350 XWB, sera alors plus disponible. L’A380-900 pouvant recevoir un millier de sièges pourrait alors entrer en service aux alentours de 2015.